Il me dit que je suis belle.kar

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Copyright Midi Musique 1996

P. Kass: IL ME DIT QUE JE SUIS BELLE
Et quand le temps se lasse
De n'etre que tue
Plus une seconde ne passe
Dans les vies d'uniformite
Quand de peine en mefiance,
De larmes en "plus jamais",
Puis de depit en defiance
On apprend a se resigner
Viennent les heures sombres
Ou tout peut enfin s'allumer-
Quand les vies ne sont plus qu'ombres
Restent nos reves a inventer-..
Il me dit que je suis belle
Qu'il n'attendait que moi
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras
Il parle comme on caresse
De mots qui n'existent pas
De toujours et de tendresse
Je n'entends que sa voix-..
Des mensonges et des betises
Qu'un enfant ne croirait pas,
Mais les nuits sont mes egli-ses
Et_dans mes reves j'y crois.

E_viter les regards,
Prendre cet air absent
Celui qu'on les gens sur les boulevards
Cet air qui les rend transparents-.
Apprendre a tourner les yeux
Devant les gens qui s'aiment.
Eviter tous ceux qui marchent a deux
Ceux qui s'embrassent a perdre haleine.
Y_a_t'il un soir, un moment
Ou l'on se dit "C'est plus pour moi"
Tous les mots doux, les coups de sang
Mais dans mes reves j'y ai droit--..
Il me dit que je suis belle,
Et qu'il n'attendait que moi
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras
Des mensonges et des betises
Qu'un enfant ne croirait pas
Mais les nuits sont mes eglises
Et dans mes reves j'y crois.
Il me dit que je suis belle
Je le vois courir vers moi
Ses mains me frolent et m'entrainent
C'est beau comme au cinema
Plus de trahisons, de peines,
Mon scenario n'en veut pas
Il me dit que je suis reine
Et pauvre de moi j'y crois..
Pauvre de moi j'y crois...

@KMIDI KARAOKE FILE@V0100@IFile created with EasyKar@I(c) 1996-1997 V. Palleschi@Ie-mail: vince@risc.ifam.pi.cnr.it@LENGL@TIl me dit que je suis belle - Kaas Patricia@TKaraoke by Hughes

Et quand le temps se lasse
De n'être que tué,
Plus une seconde passe
Dans les vies d'uniformité.
Quand de peine en méfiance,
De larmes en plus jamais,
Puis de dépit en défiance
On apprend à se résigner,
Viennent les heures sombres
Où tout peut enfin s'allumer,
Où quand les vies ne sont plus qu'ombres
Restent nos rêves à inventer.
Il me dit que je suis belle
Et qu'il n'attendait que moi.
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras.
Il parle comme on caresse
De mots qui n'existent pas,
De toujours et de tendresse
Et je n'entends que sa voix.
Des mensonges et des bêtises
Qu'un enfant ne croirait pas,
Mais les nuits sont mes églises
Et dans mes rêves j'y crois.
Eviter les regards,
Prendre cet air absent
Celui qu'ont les gens sur les boul'vards
Cet air qui les rend transparents.
Apprendre à tourner les yeux
Devant les gens qui s'aiment,
Eviter tous ceux qui marchent à deux
Ceux qui s'embrassent à perdre haleine.
Y a~t~il un soir, un moment
Où l'on se dit: C'est plus pour moi
Tous les mots doux, les coups de sang.
Mais dans mes rêves, j'y ai droit.
Il me dit que je suis belle
Et qu'il n'attendait que moi.
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras.
Des mensonges et des bêtises
Qu'un enfant ne croirait pas
Mais les nuits sont mes églises
Et dans mes rêves j'y crois.
Il me dit que je suis belle.
Je le vois courir vers moi.
Ses mains me frôlent et m'entraînent.
C'est beau comme au cinéma.
Plus de trahison, plus d'peines
Mon scénario n'en veut pas.
Il me dit que je suis reine
Et pauvre de moi j'y crois.
Hmmm, pauvre de moi j'y crois

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Date de modification: 
1998
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